folk / blues
Dans les accents élégants de cette voix – de plus en plus grave, de plus en plus belle – on ne discerne aucune prétention vaine à ressusciter ce qui n’est plus.
Simplement à faire vibrer, une fois encore, cette nostalgie sereine qui imprègne depuis longtemps l’œuvre de Johan Asherton.
Au fil des chansons de Matinee Idols, on croise quelques références familières aux figures qui ont toujours peuplé le Panthéon personnel du songwriter : Kevin Ayers, Bob Dylan, Bryan Ferry et d’autres encore.
« Entre folk pénétrant et blues lumineux. En France, on a pas de pétrole, mais on a Johan Asherton. »
Philippe Barbot – Rolling Stone
Dans les accents élégants de cette voix – de plus en plus grave, de plus en plus belle – on ne discerne aucune prétention vaine à ressusciter ce qui n’est plus.
Simplement à faire vibrer, une fois encore, cette nostalgie sereine qui imprègne depuis longtemps l’œuvre de Johan Asherton.
Au fil des chansons de Matinee Idols, on croise quelques références familières aux figures qui ont toujours peuplé le Panthéon personnel du songwriter : Kevin Ayers, Bob Dylan, Bryan Ferry et d’autres encore.
« Entre folk pénétrant et blues lumineux. En France, on a pas de pétrole, mais on a Johan Asherton. »
Philippe Barbot – Rolling Stone