Conférence de Bernard MAGNIER - Journaliste et programmateur de festivals, animateur de rencontre littéraires
Depuis longtemps, des écrivain(e)s né(e)s loin de la France sont venu(e)s enrichir les lettres françaises, de la Comtesse de Ségur à Zola, Apollinaire ou Ionesco. Certain(e)s ont gardé la trace de cette naissance dans leurs œuvres (Camus, Duras). D’autres ont choisi le français après avoir écrit dans une autre langue (Beckett, Kundera, Kristof, etc.).
Aujourd’hui, des écrivain(e)s originaires d’Afrique, du Moyen-Orient, de la Caraïbe ou de l’océan Indien s’expriment à leur tour dans la langue reçue en héritage de l’Histoire tandis que d’autres, venu(e)s de pays non-francophones (Chine, Japon, Iran, Afghanistan, Argentine, Pologne, etc.), ont également choisi le français comme langue d’écriture.
La conférence propose un inventaire de cette présence, d’en suivre les traces dans les œuvres et d’évoquer la relation pragmatique, amoureuse, conflictuelle, passionnée, entretenue avec la langue française par ces écrivain(e)s “venu(e)s d’ailleurs”.
Depuis longtemps, des écrivain(e)s né(e)s loin de la France sont venu(e)s enrichir les lettres françaises, de la Comtesse de Ségur à Zola, Apollinaire ou Ionesco. Certain(e)s ont gardé la trace de cette naissance dans leurs œuvres (Camus, Duras). D’autres ont choisi le français après avoir écrit dans une autre langue (Beckett, Kundera, Kristof, etc.).
Aujourd’hui, des écrivain(e)s originaires d’Afrique, du Moyen-Orient, de la Caraïbe ou de l’océan Indien s’expriment à leur tour dans la langue reçue en héritage de l’Histoire tandis que d’autres, venu(e)s de pays non-francophones (Chine, Japon, Iran, Afghanistan, Argentine, Pologne, etc.), ont également choisi le français comme langue d’écriture.
La conférence propose un inventaire de cette présence, d’en suivre les traces dans les œuvres et d’évoquer la relation pragmatique, amoureuse, conflictuelle, passionnée, entretenue avec la langue française par ces écrivain(e)s “venu(e)s d’ailleurs”.



