Les promenades photographiques

3O artistes et 15 lieux patrimoniaux tout l'été

Pour sa 20ème édition les artistes vont célébrer les liens qui nous unissent à travers leurs créations

Ce qui nous lie...

Dans un monde en constante évolution, fébrile et parfois violent, nous souhaitons prendre le temps de nous questionner sur ce qui nous rassemble plutôt que de nous concentrer sur ce qui nous différencie.
Favoriser la rencontre à soi, à l’intime, à la nature, explorer les émotions, s’ouvrir à la diversité culturelle et percevoir comment ces liens façonnent nos identités et nos expériences de vie.
Dans quinze lieux patrimoniaux exceptionnels, en extérieur et en intérieur à Blois, mais aussi le long de la Loire, au Pays des Châteaux, les Promenades Photographiques allient les arts visuels à la découverte des paysages ligériens.
Le Capitole, Centre d’art visuel, sera à la fois un lieu d’exposition ainsi que la billetterie officielle du festival pendant l’été. Situé en plein coeur de ville, cet ancien cinéma accueille des expositions temporaires tout au long de l’année.

 

 

Du 28 juin au 1er septembre 2024

Edward S. Curtis

Au Museum d'Histoire Naturelle à Blois

Le travail documentaire d’Edward S. Curtis, du début du 20e siècle, permet de témoigner aujourd’hui encore de la culture amérindienne de cette époque.

 

Jean-François Spricigo

Pavillon du doute • Fondation du doute

Pour ce photographe qui a découvert l'outre-mer, un principe de vie est né : Peu importe la forme choisie par la Vie, l’important est la Vie dans la forme.

 

Franciska Legát

Ecole d’Art de Blois•Agglopolys

Hellish Eden (Paradis Infernal) renvoie à la dualité et à l’absurdité du régime communiste hongrois des années 1970 et 1980. D’après les récits de mes parents, je capture des situations imaginaires envisageables à cette période mais qui n’ont jamais réellement eu lieu.

Émeline Sauser

Ecole d’Art de Blois•Agglopolys

« Refuges » est un projet documentaire dans lequel l'artiste focalise sur le moment où il faut réunir ses forces pour ne pas sombrer.

 

Le Turk

Jardins du Doute - Fondation du Doute

Son travail "La Garenne du Prince" reflète ce Mélange singulier entre la peinture classique et la culture pop, son univers évoque un décor cinématographique où le faux et le vrai coexistent.

 

Les Costiens

Le Capitole (14 rue des Juifs)

Les Costiens ont comme point commun d’avoir été formés à la photographie par Henry Coste, un enseignant hors normes.
L’exposition collective les Costiens présente un ensemble de photographies illustrant la grande diversité de leurs travaux personnels et artistiques, mais aussi de publications ou de commandes.

Axelle de Russé & Thomas Morel-Fort

Jardins de l’Évêché

"Arts : vivants !" s’est efforcé de capturer l’intensité des émotions qui se cachent derrière ces masques et costumes, dévoilant ainsi la complexité des personnages qu’ils incarnent.
Travail à la chambre photographique.

 

Marion Dubier-Clark

Hôtel de Ville

Avec la broderie, la photographie y gagne en relief : elle s’embosse d’étoiles argentées, darde fièrement ses rayons colorés, souligne avec éclat l’élégance d’un animal ou d’une ramure. L’image prend corps.

 

Joséphine Michel

Hôtel de Ville

L'exposition "Syrinx" ne montre pas l’oiseau dans le paysage, mais l’oiseau comme un paysage. À travers des plans rapprochés de plumes et d’yeux, elles oscillent entre l’incarnation et l’abstraction, suggérant une écoute des regards et une vision des sons.

Véronique Bourlon

Pavillon Anne de Bretagne

Installation immersive dans des cadres perceptifs mouvants, elle recrée un pavillon végétal où les éléments floraux envahissent le lieu pour dire les passions humaines, de l’extase mystique aux extases
charnelles féminines. Elle est une invitation à déambuler dans les contours flous du monde inextricable de l’attente et du ravissement, de la brûlure et de l’apaisement.

 

Céline Croze & Tiphaine Populu de la Forge

Salle Joséphine Baker - Accès par le CRDM

Céline Croze est sensible aux fêlures que traverse notre société, elle utilise les codes cinématographiques pour transgresser le monde qui l’entoure.
Tiphaine Populu de la Forge rejoue dans l’espace domestique le paradigme de la terre malade et matérialisent la complexité de notre rapport aux enjeux environnementaux.

 

Titwane & Raynal Pellicer

Maison de la Bd (du 25 juin au 31 août) & Centre de la Résistance, de la Déportation et de la Mémoire, du 2 juillet au 9 septembre (CRDM)

La Bande dessinées "Photographes de guerre" retrace la vie de deux jeunes allemands à la veille de la Second Guerre Mondiale, immortalisant tout ce quotidien près à flancher.

L’École de design graphique et d’arts appliqués de Blois
Avec SNCF Gares & Connexions et Fujifilm

Parvis de la gare Blois-Chambord

La gare, avec son flux constant de passagers, représente un carrefour sociologique fascinant. C’est un lieu d’émotions, de départs et d’arrivées, une frontière entre le privé et le professionnel.

 

Collectif La sieste et les vacances

Promenade Mendès-France

Les enfants ont les pieds dans l’eau, leur maillot de bain est rempli du sable charrié par les vagues, leurs cheveux sont ébouriffés par le vent de la mer, le goût du sel dans la bouche. Plus loin une favouille se planque pour échapper à la poêlée du soir, on mangera quand même des tellines...

 

Virginie Sueres

Baignade naturelle du Grand Chambord, Mont-près-Chambord

L'artiste nous invite dans son univers onirique, empreint de poésie et de délicatesse, et nous entraîne sous la surface pour goûter à la magie de cette apesanteur originelle, dont nos corps gardent au fond d’eux la nostalgique mémoire.

 

Georges Demenÿ

Musée de la Corbillière, Mer

A l’École de Joinville, à la fin du 19e siècle, Georges Demenÿ recrée dans cette institution militaire une station de prise de vue chronophotographique sur plaque fixe. Sa mission : perfectionner la motricité du soldat grâce à l’analyse du mouvement par l’image. Il produit ainsi plus d’une centaine de plaques sur lesquelles il décompose les gestes athlétiques.

 

Romain Boutillier : Lost in Camargue

L'expo délocalisée : Artplexe  - Marseille Un voyage à travers une Camargue silencieuse, intemporelle, mystérieuse, belle et désolée. Un sentiment de bout du monde dans une nature unique en son genre. La Camargue a des airs de Far West.